HAUTS-DE-SEINE
Coronapistes en IDF : le 92 est en tête, hors Paris
Coronapiste :
c’est le nom qui a été donné aux aménagements cyclables provisoires créés lors
de la pandémie de Covid-19 dans le but de fluidifier la circulation urbaine.
Afin de prendre le pouls de
l’utilisation de ces nouvelles pistes, le Collectif Vélo Île-de-France (créé en
mars 2019, le collectif a pour but de faire de l’IDF une région
cyclable) a publié le classement du kilométrage des
coronapistes, par département. Sans trop de surprise, Paris se trouve en tête,
avec 42,7km, suivi de très prés des Hauts-de-Seine, avec ses 40,1km de
coronapistes. La troisième marche du podium est occupée par le 93, et ses
34,1km. Le Val-de-Marne (15,1km), le Val d’Oie (12,1km), l’Essonne (8,6km) et les
Yvelines (4,9km), et la Seine-et-Marne terminent le classement.
En juin
dernier, le collectif se réjouissait de constater une hausse permanence de la
fréquentation des coronapistes. À titre d’exemple, 5 700 cyclistes passent
chaque jour sur la coronapiste aménagée sur le Pont de Neuilly, entre Paris et
La Défense. À vos vélos !
VAL-DE-MARNE
Équipements sportifs de plein air en libre accès à Thiais
Le fitness
pour tous ! Vélo elliptique, cavalcade double, stepper – dips piston,
combiné abdos lombaires, push pull, vélo… De nouveaux équipements sportifs vous
attendent en libre accès au cœur du Parc André Malraux et des Terrasses du
Soleil. Ils viennent s’ajouter à l’aire de fitness connectée déjà présente
depuis 2018 sur ce dernier site.
La Ville de
Thiais a fait appel à l’entreprise française Freetness, leader sur le
marché de la fabrication de fitness de plein air. Grâce à l’appli Freetness
disponible sur App Store et Google Play, vous serez accompagnés dans votre
pratique sportive par votre coach de poche : retrouvez plus de 300 vidéos
et 500 exercices différents !
Appareils
installés :
Vélo :
développer l’endurance, muscler les membres inférieurs ;
Combiné
abdos lombaires : renforcer la sangle abdominale ;
Vélo
elliptique : travailler l’endurance, tonifier ;
Cavalcade
double : muscler l’ensemble du corps ;
Push pull :
travailler les membres supérieurs ;
Stepper –
dips piston : tonifier les membres supérieurs et les membres inférieurs.
ESSONNE
Ouverture d’un site BOWEN aux Ulis
BOWEN,
industriel spécialisé, dans la conception et la production de solutions
sur-mesure dans le domaine de la défense, du transport et de la sécurité,
inaugure un nouveau site de 3 000 m² dédié à la recherche et au développement.
Il permet
d'accueillir collaborateurs, partenaires, laboratoires et clients. Les
collaborateurs pourront ainsi mettre en commun leurs compétences afin de
développer une synergie, nécessaire à la croissance de l'activité. Sur un
marché exigeant où les technologies sont complexes et innovantes, le cycle de
conception doit être réduit, sans compromis sur la qualité, la fiabilité et la
sécurité.
Pour
consolider sa compétitivité, BOWEN a investi 5 M€ ces trois dernières
années.
Cette
nouvelle implantation, qui s'inscrit dans une forte volonté de développement
avec une vision long terme, permettra également l'embauche de
10 ingénieurs d'ici 2022. Le groupe BOWEN a la volonté de faire croître
son effectif en respectant des engagements responsables.
BOWEN s'est
construit autour des acquisitions des activités de PEKLY, ERTE, EADS-Nuclétudes
et JACQUELOT, qui rassemblent l'ensemble des technologies indispensables à la
réalisation d'équipements radars et télécommunications complexes :
amplificateurs RF, traitement de signal et électronique numérique. Partenaire
global de premier plan pour les systémiers, l’entreprise s'impose comme un
accélérateur d'innovations et de nouvelles technologies, capable de réaliser
des solutions industrielles complètes de surveillance, de détection et de
télécommunications, investissant chaque année 15 % de son chiffre
d'affaires en Recherche & Développement.
Le nouveau
site des Ulis sera consacré à la recherche et au développement de nouvelles
solutions d'équipements radars et télécommunications complexes radiofréquences
destinées à la surveillance, la détection ou la transmission d'information. Ses
solutions radiofréquences s'adaptent à tout type
d’environnement permettant ainsi de générer, traiter et transmettre
l'information à haut débit.
La R&D
bénéficie d'une chambre anéchoïque afin d'éprouver les équipements et mesurer
qu'ils répondent en tous points aux normes exigées. Cette chambre sourde est un
espace de test unique qui s'apparente au vide spatial, elle représente un levier
supplémentaire d'innovation et de compétitivité. Le Groupe BOWEN s'appuie sur
une maîtrise totale de la chaîne industrielle, mais également sur un réseau de
partenaires (laboratoires, partenaires experts et groupements industriels,
universitaires et institutionnels) permettant d'optimiser ses capacités
d'innovation et sa réactivité.
« Cet investissement s'inscrit dans une
volonté forte du groupe de développer notre activité et de consolider notre
place de partenaire global pour les donneurs d'ordre. Nous bénéficions d'un
écosystème très performant qui nous permettra de nous renforcer dans les années
à venir. Ce bâtiment a été entièrement reconfiguré pour permettre le partage,
la mise en commun de connaissances avec nos partenaires et clients pour relever
de nouveaux défis » Commente Juvelino Da Silva, PDG de BOWEN.
En 2019,
BOWEN, membre de la French FAB et des pôles de compétitivité GICAN, l'ASTech et
GIFAS a réalisé en 2019 un chiffre d'affaire de plus de 10 M€, et a
l'objectif de le doubler d'ici 2030.
Le site
historique de BOWEN basé à Thiron-Gardais fêtera l'année prochaine ses
100 ans.
VAL-D’OISE
(Re)naissance d’un espace agricole et naturel à
Cormeilles-en-Parisis
Le quartier
Bois Rochefort est connu pour ses nouveaux logements BBC (bâtiments basse
consommation) et un aménagement pertinent des espaces et des zones de
circulation. Il sera prolongé dans quelques années par un site où la nature et
l’agriculture se retrouveront.
Bientôt une
plaine maraîchère et un belvédère boisé
Au sud-ouest
de Cormeilles s’étend une zone d’environ 60 hectares de terres
hétérogènes. On y trouve des parcelles agricoles, des terrains divers, certains
avec des logements inhabités ou encore des champs en friche et propices aux
dépôts sauvages de déchets.
Pour
valoriser ce vaste espace qui s’inscrit dans la continuité de la coulée verte,
la Ville souhaite l’aménager pour créer une plaine maraîchère qui cohabitera
avec un parc et un belvédère boisé offrant une vue panoramique sur la Seine.
Encourager le maraîchage autour de Paris.
De multiples
étapes et difficultés sont à surmonter avant que le projet puisse voir le jour.
Le dossier est suivi par Grand Paris Aménagement, l’aménageur du quartier Bois
Rochefort, et s’inscrit dans un programme plus vaste, un programme de la Région
Île-de-France. Celui-ci vise, entre autres, à créer des espaces en faveur de la
biodiversité et à encourager le maraîchage autour de Paris.
Val Parisis
Agglomération, ainsi que la ville de la Frette-sur-Seine, sont également
partenaires de la Ville pour la réalisation de cette plaine naturelle dont
pourront profiter tous les habitants.
YVELINES
Le
maire de Saint-Germain-en-Laye lance un plan de soutien local
Dès le
2 novembre, le maire de Saint-Germain-en-Laye, Arnaud Péricard, va lancer un
plan de soutien local pour sa ville. Celui-ci consiste en trois points, comme
le révèle le magazine en ligne actu.fr :
Aider les plus fragiles : mettre en place
un plan de solidarité de proximité organisé, entre autres, avec les conseils de
quartier, les bénévoles pour que les plus fragiles puissent le plus possible
rester chez eux ;
Soutenir l’économie locale : en plus des
aides déjà mises en place en mars et avril derniers, la Ville va proposer de
nouvelles initiatives, comme des permanences de soutien économique au sein
d’une cellule qui sera ouverte au centre administratif. Objectif : « recenser
les acteurs économiques en fragilité, les orienter et les soutenir dans leurs
démarches avec les structures d’aide » a expliqué l’élu.
Enfin, outre la campagne de tests
antigéniques gratuits qui sera lancée lundi, la Ville va fournir
des masques spécifiques pour les écoles élémentaires
publiques (trois masques par enfant jusqu’à Noël).
Suite
aux annonces du président de la République, le maire avait déclaré :
« Certains voudront polémiquer ou critiquer. Ce n’est pas le moment.
Nous sommes face à une situation qui est ce qu’elle est aujourd’hui et il faut
y faire face et la gérer. Ce n’est pas l’heure des discours, mais l’heure de la
gestion au quotidien. » Il semble tenir parole.