HAUTS-DE-SEINE
Guy Durand, nouveau
président de la Chambre des notaires des Hauts-de-Seine
Le 1er juin dernier, s’est tenue la séance d’installation du nouveau
président de la Chambre des notaires des Hauts-de-Seine. Maître Guy Durand,
notaire à Courbevoie, a pris ses fonctions, succédant à Hélène
Lapeze-Kermarrec.
Diplômé de Centre d’Études Supérieures du Notariat, puis titulaire du
Diplôme Supérieur du Notariat, Guy Durand est entré dans le notariat en 1993.
Guy Durand, 52 ans, exerce ses fonctions de notaire depuis 2004 dans une
étude à Courbevoie avec deux associés, six notaires salariés et 28
collaborateurs. Son Étude fait partie de 7 Seine Notaires qui regroupe trois
offices des Hauts-de-Seine.
Élu Membre de la Chambre en 2013 puis vice-président en mai 2015, il a
été réélu en octobre 2020 pour exercer les fonctions de 1er vice-président de
la Chambre des Notaires des Hauts-de-Seine. À ce titre, il a été en relation
avec son homologue de la Chambre Interdépartementale des notaires de Paris et
avec les autres Chambres du Grand Paris à l’occasion de la préparation des universités
Régionales du Notariat.
Il a été co-président de la Commission « Actes courants » de
2019 à 2021 et est membre de la Commission sur le logement des Notaires
du Grand Paris.
À cette même occasion, la nouvelle chambre des notaires du 92 a
également été installée.
VAL-DE-MARNE
Encore quelques jours pour découvrir l’œuvre
d’Henri de Maistre, à Créteil
L’association Chemin des Arts a pour
objectif la promotion de l’art et du patrimoine religieux dans un dialogue avec
toutes les formes d’expressions artistiques, dans le Val-de-Marne. Jusqu’au 27
juin, elle met à l’honneur l’œuvre d'Henri de Maistre,
peintre et directeur des Ateliers d’Arts Sacrés de 1926 à 1947, à l’espace
culturel Cathédrale.
« De double vocation de peintre profane et
religieux, directeur des Ateliers d’Arts Sacrés de 1926 à 1947, Henri de
Maistre passe son enfance en Normandie, dans le domaine familial de Beaumesnil.
Ayant découvert très tôt sa vocation d’artiste, il s’inscrit après sa scolarité
à l’École des Beaux-Arts à Paris, dont il rejette rapidement l’académisme »,
explique la municipalité. Il réalise alors des
décorations profanes dans plusieurs propriétés privées, pendant lesquelles il perfectionne
son art de la composition. Présent aux grandes manifestations de l’entre-deux-guerres,
« la période 1930-1947 est pour
Henri de Maistre d’une grande activité, aussi bien dans le cadre des Ateliers
d’Art Sacré dont il est la figure incontournable au début du XXe
siècle, qu’à titre personnel ».
Chemin des Arts dévoile, à l’occasion de cette exposition réalisée
en étroite collaboration avec la famille de l’artiste et le Musée des
Beaux-Arts de la ville de Bernay, une sélection de dessins, d’esquisses peintes
et de cartons de fresques ainsi que des tableaux et portraits.
Informations :
Accès libre tous les jours de 15h à 17h et sur rendez-vous
Grande Galerie de l’Espace Culturel de la Cathédrale
2 rue Pasteur Vallery Radot 94000 Créteil
Adresse mail : contact@chemindesarts.com –
Téléphone : 01 45 17 24 10
SEINE-SAINT-DENIS
Un
équipement dédié aux handisports ouvrira pour les Jeux Olympiques 2024 à Bobigny
Le conseil départemental a désigné à l’unanimité, le groupe Demathieu Bard, ce lundi 14 juin, pour être le maitre d’œuvre du Pôle de Référence Inclusif Sportif
Métropolitain (le Prisme). Le groupe s’est associé à Gulizzi Architectes, l’Agence Roméo Architecture, CET
Ingénierie, Le Sommer Environnement, Burgeap, D&H, Peutz & Associés, MBAcity, Idex Energies et Demathieu Bard
Maintenance.
L’équipement sportif dont le financement s’élève à 49 millions d’euros
est construit à l’initiative de Solideo (société
de livraison d’ouvrage olympique), du département de Seine-Saint-Denis, du
comité de Paris 2024 et de la ville de Bobigny.
Ce nouveau lieu est présenté comme un équipement unique en Europe, de
par sa taille et sa spécialisation dans le handisport, en effet le site a pour
vocation d’accueillir les compétitions handisport de haut niveau. C’est
aussi, le plus grand projet handisport annoncé par les organisateurs des Jeux
olympiques de 2024. Le département « espère ainsi qu’il pourra servir de
lieu d’entraînement aux athlètes concourant aux Jeux paralympiques ». Le
projet est construit ab côté du stade de la Motte, sur un terrain de 13 100 m2
et développe 8 2000 m2 d’espace utile. Jusqu’à 2000 usagers simultanément.
Le Prisme abritera non seulement un gymnase, un mur d’escalade, une
salle de danse, une de musculation et une pour pratiquer la Bocia (la pétanque en fauteuil). Mais aussi, une
piste d’athlétisme faite pour accueillir tout type de handicap, une grande
salle multisports avec gradin adapté pour les fauteuils roulant et une salle
vidéo dédiée au e-sport.
Un pôle santé est également prévu avec un espace de balnéothérapie, de
kinésithérapie, de soins, de récupération et de rééducation. De plus, un
centre de recherche sur la santé sera créé, comprenant un espace de ressources
approvisionné par les fédérations sportives et l’université Sorbonne Paris
Nord.
« Après une phase de conception, d’études et d’obtention du permis de
construire, les travaux débuteront au deuxième semestre 2022 et s’achèveront au
premier semestre 2024, pour une mise en service en mai 2024 », souligne la collectivité. A l’origine,
les travaux du PRISME devaient débuter au dernier trimestre 2021
pour ouvrir ses portes en 2023.
YVELINES
Renault s’allie à une start-up allemande pour
développer un système de stockage d’électricité mobile
Renault a annoncé, lors du salon parisien Vivatech,
ce mercredi 16 juin, avoir passé un accord avec la start-up allemande Betteries AMPS, spécialisée
dans le recyclage des batteries de voitures électriques. Le but de cette
alliance est de développer et d’assembler des composés de modules de batteries
issus de véhicules électrique usagés.
Ce système mobile de stockage stationnaire se fera dans une usine
renommée « Re-Factory » à Flins-sur-Seine,
dans les Yvelines. Cette usine sert à assembler les véhicules neuf depuis
sa création dans les années 50, mais seulement pour quelques années
encore. En effet, le groupe Renault projette de cesser l’assemblage de
voiture à cet endroit. Ce projet s’inscrit dans la volonté du groupe de
s’engager vers une économie circulaire.
Les batteries récupérées serviront à élaborer des générateurs électriques transportables. Ce
système de batterie devrait permettre d’alimenter des chantiers BTP, des Food
truck, des tournages ou bien des petits bateaux électriques en stockant de
l’énergie solaire quand le raccordement à un réseau est impossible. Le
stockage d’énergie joue un rôle majeur dans le développement des énergies
renouvelables.
De fait, l’énergie fournit par les éoliennes ou les panneaux
photovoltaïques varie en fonction des conditions climatiques et ne
procurent donc pas un apport égal et régulier en électricité. Le stockage
par batterie stationnaire pourrait justement pallier cette
irrégularité. De plus, elles émettent zéro émission,
sont silencieuses et « Facilement transportable, ce système est composé de 1 à 4 éléments de 2,3 kWh et peut
ainsi atteindre une capacité de 9,2 kWh, soit l’équivalent de la consommation
moyenne d’un foyer sur une journée », a indiqué le porte-parole de Mobilize à l’agence de presse Reuters. La
capacité initiale de production serait d’environ 4 000 éléments de
2,3 kWh par an et devrait débuter en septembre prochain.
Betteries AMPS a été créé en 2018 et travaillait déjà avec le
groupe Renault au sein de l’incubateur « stations Flins » consacré à donner une deuxième vie aux batteries des
voitures électriques.
VAL-DE-MARNE
Encore quelques jours pour découvrir l’œuvre
d’Henri de Maistre, à Créteil
L’association Chemin des Arts a pour
objectif la promotion de l’art et du patrimoine religieux dans un dialogue avec
toutes les formes d’expressions artistiques, dans le Val-de-Marne. Jusqu’au 27
juin, elle met à l’honneur l’œuvre d'Henri de Maistre,
peintre et directeur des Ateliers d’Arts Sacrés de 1926 à 1947, à l’espace
culturel Cathédrale.
« De double vocation de peintre profane et
religieux, directeur des Ateliers d’Arts Sacrés de 1926 à 1947, Henri de
Maistre passe son enfance en Normandie, dans le domaine familial de Beaumesnil.
Ayant découvert très tôt sa vocation d’artiste, il s’inscrit après sa scolarité
à l’École des Beaux-Arts à Paris, dont il rejette rapidement l’académisme »,
explique la municipalité. Il réalise alors des
décorations profanes dans plusieurs propriétés privées, pendant lesquelles il perfectionne
son art de la composition. Présent aux grandes manifestations de l’entre-deux-guerres,
« la période 1930-1947 est pour
Henri de Maistre d’une grande activité, aussi bien dans le cadre des Ateliers
d’Art Sacré dont il est la figure incontournable au début du XXe
siècle, qu’à titre personnel ».
Chemin des Arts dévoile, à l’occasion de cette exposition réalisée
en étroite collaboration avec la famille de l’artiste et le Musée des
Beaux-Arts de la ville de Bernay, une sélection de dessins, d’esquisses peintes
et de cartons de fresques ainsi que des tableaux et portraits.
Informations :
Accès libre tous les jours de 15h à 17h et sur rendez-vous
Grande Galerie de l’Espace Culturel de la Cathédrale
2 rue Pasteur Vallery Radot 94000 Créteil