Organisé par le département
de l’Essonne et Essonne numérique, ce marathon de programmation, qui se
déroulera les 1er et 2 avril prochains au C-19 à Évry-Courcouronnes,
s’adresse notamment à tous les passionnés d’innovation. Objectif de cette
compétition : « imaginer les futures gestions intelligentes de l’eau sur [le]
territoire ». La solution numérique lauréate sera déployée à
l’échelle du département.
Vous êtes étudiant, salarié, agent ou contractuel
de la fonction publique engagé dans la cause environnementale et/ou passionné
d’innovation et vous ne savez pas quoi faire ce week-end, alors le hackathon « eau
et numérique » est fait pour vous !
Conjointement organisé par le département de
l’Essonne et Essonne numérique, ce premier hackathon se déroulera ces 1er et
2 avril au lieu d’incubation C-19 à Évry-Courcouronnes. L’objectif de cette
compétition de programmation est simple : « bâtir
des solutions numériques pour permettre une gestion intelligente de l’eau en
Essonne » afin de répondre à la crise de l’eau et de
l’assainissement en imaginant des solutions concrètes.
Des équipes pluridisciplinaires à l’épreuve de quatre
défis
Pour cela, des équipes
pluridisciplinaires travailleront de concert afin de créer des logiciels ou des
applications innovantes qui s’articuleront autour de quatre défis :
« le défi #AlerteSécheresse », qui devra traduire les
restrictions d’usages de l’eau en consignes claires pour les Essonniens ;
« le défi #RéalitéAugmentée » pour mieux visualiser les enjeux
qu’impliquent l’augmentation des inondations ; « le défi
#PréventionInondation » qui utilisera la modélisation et la
caractérisation d’une pluie comme outil de prévention ; et enfin, « le
défi #DataVisualisation » pour faire parler les données associées aux
milieux humides et rivières.
Les équipes pourront
s’atteler à la tâche de 9h à 18h, avant la remise des prix à l’issue de ce week-end.
Entre autres récompenses, l’équipe lauréate se verra remettre la « preuve
de concept » par Essonne numérique, « une démonstration technique
[qui] permettra de valider la faisabilité de leur solution et de tester
certaines hypothèses avant de pouvoir procéder à une mise en œuvre complète
[sur le territoire essonnien] », est-il détaillé dans un communiqué.