VAL-D’OISE
Séjour de vacances d'hiver : février 2021
À Sarcelles,
les inscriptions sont possibles jusqu’au 22 janvier 2021. Télécharger la
brochure ici : SÉJOURS VACANCES D'HIVER FÉVRIER
2021
Afin de
respecter le protocole sanitaire, les inscriptions se feront uniquement sur
rendez-vous. Pour cela, veuillez contacter le 01 34 38 27 70 ou le 01 34
38 27 75 afin de fixer votre rendez-vous.
Le livret
des séjours est disponible aux accueils du centre administratif, de l’hôtel de
ville, des plates-formes de services publics, des maisons de quartier et
centres sociaux, des antennes jeunes et des centres de loisirs élémentaires et
en ligne sur le portail famille de la ville de Sarcelles.
Pièces à présenter pour
l’inscription :
- Photocopie
de l’attestation de la carte d’assurance maladie avec les bénéficiaires et la
durée des droits.
- Attestation
de moins de trois mois des allocations familiales avec le montant du quotient
familial.
- Le
justificatif de l’AVE ( Aide aux Vacances Enfants), si vous en bénéficiez.
Si vous ne percevez pas
d’allocations familiales :
- Livret de
famille ;
- Avis d’imposition
sur les revenus 2019 (ou si la situation a changé, les trois derniers bulletins
de salaire) ;
- Dernière
fiche de paie des parents.
À fournir
obligatoirement pour tous les séjours (voir le dossier participant remis à
l’inscription) :
- Photo d’identité pour les forfaits remontées mécaniques ;
- Certificat
médical d’aptitude à la pratique d’activités sportives ;
- Certificat
médical certifiant que les vaccins sont à jour ou copie du carnet de
vaccinations ;
- Règlement intérieur signé.
Taille, poids,
tour de tête et pointure obligatoires à transmettre lors de l’inscription pour
les séjours au ski. Prévoir les vêtements adaptés (combinaison, gants,
après-ski, bonnet…)
Attention :
vous ne pourrez pas procéder à l’inscription de votre enfant en cas de dossier
incomplet. Toute disparition ou détérioration d’objets devra impérativement
être signalée au directeur dès que vous vous en apercevrez, et en tout état de
cause, avant la fin du séjour. Nous vous rappelons que les pertes d’objets, les
vols de bijoux et d’espèces ne sont pas garantis par l’assurance.
Attention
: Les objets personnels (appareils photo, MP3, téléphone…) et bijoux
resteront sous la responsabilité de l’enfant s’il décide de les garder avec
lui.
Information
covid-19 : toutes les dispositions préconisées dans le protocole sanitaire
de lutte contre la propagation du virus seront prises par le prestataire.
VAL-DE-MARNE
Une caravane tamoule pour la justice à Vitry-sur-Seine
Début
janvier, le maire, Pierre Bell-Lloch, et Albertino Ramaël, adjoint au maire
chargé des Relations internationales, accueillaient, à l'Hôtel de Ville, la
caravane tamoule faisant halte à Vitry.
Cette
délégation parcourt la France à vélo et s'arrête dans les mairies avec l'espoir
d'un soutien contre le gouvernement sri-lankais, accusé de crimes de guerre et
de crime contre l’humanité. Elle demande la reconnaissance du peuple tamoul et
dénonce l’oppression dont il est victime depuis l’indépendance de 1948.
Nindulan
Navaneethan, représentant des Tamouls d’Europe, a rappelé qu’« en 2009, 200 000 Tamouls ont été assassinés
au Sri Lanka. Nous demandons l’ouverture d’une enquête internationale
indépendante sur les crimes de guerre, les violations des droits internationaux
et le génocide commis contre le peuple tamoul par le gouvernement sri-lankais
».
Partis du
Conseil de l’Europe, à Strasbourg, ils souhaitent par cette mobilisation que la
France se fasse l’écho de sa lutte lors de la 46e session
du Conseil des droits de l’homme des Nations unies,
qui doit se tenir à Genève du 22 février au 19 mars.
ESSONNE
Appel au don pour la mise en sécurité des
femmes et enfants victimes de violence
Le 13
janvier, l’association Léa Solidarité Femmes créée en 2009 et basée à Montgeron
a lancé un appel au don pour pouvoir financer 50 nouvelles places d’hébergement
pour les femmes et les enfants victimes de violences conjugales ou
intrafamiliales. Une action menée en partenariat avec la plateforme Les Petites
Pierres, plateforme de crowdfunding solidaire dédiée aux enjeux du mal-logement
en France.
À l’heure
actuelle, les 130 places (femmes et enfants) dont dispose Léa Solidarité Femmes
sont toutes occupées, et le nombre de victimes ayant besoin d’être mises en
sécurité augmente. L’aménagement de nouvelles places d’hébergement - dont l’association
n’est pas propriétaire, mais qui sont mis à disposition par les communes, et des
bailleurs sociaux - est donc devenu essentiel. Avec cet appel à la générosité
des citoyens, Léa Solidarité Femmes espère collecter environ 16 000 euros,
afin de pouvoir aménager 4 ou 5 appartements. « Nous recevons également des dons de la part d’entreprises et l’aide de
nos bénévoles pour les travaux quand cela est nécessaire », a précisé la
présidente de Léa Solidarité Femmes à la rédaction de actu.fr.
Pour plus d’informations
sur l’appel au don :
https://www.lespetitespierres.org/projets/mettre-en-securite-les-femmes-victimes-de-violences-essonne/638?fbclid=IwAR1S6-t3DQMTjJCrwjkPh5vfPtBmJSvr9CYPMbcwFYsVgpyf6zNs6Qm7nl0
YVELINES
Le collège du futur de Mantes-la-Jolie
En juillet
prochain, les travaux de construction du collège du futur à Mantes-la-Jolie s’achèveront,
pour un coût total de 31 millions d’euros entièrement financés par le
département des Yvelines.
D’une capacité de
600 élèves, ce collège « nouvelle génération » doit ouvrir ses portes
à la rentrée de septembre 2021. Il accueillera les collégiens qui sont
actuellement scolarisés dans les collèges du secteur, André-Chénier et
Paul-Cézanne.
Le 14 janvier 2021, à six mois de la
livraison du bâtiment, Romary Boutout, le directeur des grands projets du Conseil
départemental, s’est rendu sur place pour une visite de chantier en présence du
constructeur. Avec des façades en verre, un patio agrémenté de plantations au
milieu du bâtiment principal, le collège sera ultra moderne.
L’établissement comprendra des classes, mais
aussi des salles de séminaire, une cafétaria, un amphithéâtre, un mur d’escalade
et quatre maisons référentes, a détaillé Romary Boutout interrogé par le
magazine yvelines.info.fr. Un clin d’œil à la saga des films Harry Potter où
les élèves sorciers sont répartis en groupe.
SEINE-SAINT-DENIS
Au Phares, Olivia Grégoire soutient les pôles territoriaux de coopération
économique
Olivia Grégoire, secrétaire d’État à l’Économie sociale, solidaire
et responsable, s’est rendue le 8 janvier au Phares (Pôle de Solidarité aux
Activités à Rayonnement Ecologique et Solidaire) de L’Île-Saint-Denis,
lieu idéal pour se voir remettre le rapport du Labo de l’ESS sur la relance des
pôles territoriaux de coopération économique (PTCE).
Objectif de la visite : réaffirmer le rôle de ces pôles dans
le développement de territoires résilients et solidaires, notamment dans le
contexte de relance économique.
Reconnus par l’article 9 de la loi relative à l’ESS du 31 juillet
2014, les PTCE sont un outil pour développer des projets économiques innovants
et solidaires à l’échelle d’un territoire. Ils donnent un cadre légal et
financier à des solutions locales, imaginées par les acteurs du terrain, pour
répondre à des problèmes locaux et créer des synergies entre acteurs
économiques. Le réseau du Labo de l’ESS en dénombre plus d’une cinquantaine
aujourd’hui en France.
Installé dans un bâtiment de 1350 m2 sur l’Île-Saint-Denis depuis
2001, le PTCE du Phares regroupe pour sa part plus d’une quinzaine de structures
de l’ESS – associations, entreprises, etc. À l’instar de Lil’ô, à la pointe
nord de l’Île-Saint-Denis. Cette ancienne friche industrielle de 3,6 hectares a
été réhabilitée par l’association Halage en un espace de biodiversité. Le site
accueille notamment le composteur « Tidy planet », de la SAS Les
Alchimistes, qui produit du compost à partir des bio-déchets collectés aux
alentours. Comme l’indique Le Journal du grand Paris, Lil’ô va bientôt
se lancer dans une expérimentation en partenariat avec la Société de livraison
des ouvrages olympiques (Solideo), l’opérateur de terres excavées ECT et le
bureau d’études spécialisé dans l’économie circulaire Neo-Eco. « Il
s’agira de tester la viabilité de la création d’un substrat fertile produit à
partir d’un mix de terres excavées des chantiers du Grand Paris express, de
compost produit par les Alchimistes et de béton concassé ». Tout un
programme !
HAUTS-DE-SEINE
Santé :
le futur de l’innovation se jouera à Fontenay-aux-Roses
Les locaux de l’établissement public territorial Vallée Sud - Grand
Paris sur la ZAC du Panorama de Fontenay-aux-Roses devaient accueillir
l’été prochain des entreprises du domaine de la santé et des biotechnologies.
Sur la ZAC
du Panorama, à Fontenay-aux-Roses, le futur se joue aujourd’hui.
Le 11
janvier dernier, a ainsi débuté le chantier de rénovation de l’établissement
public territorial Vallée Sud - Grand Paris à Fontenay-aux-Roses.
L’objectif : réunir en un seul lieu tous les acteurs du secteur qui
favorisera, à terme, l’émergence des synergies communes autour de projets
innovants. Le site ambitionne ainsi de devenir le cluster référent en
Île-de-France en matière d’e-santé et de biotechnologies. Le « Bio
Parc » de 1 500 m2 devrait accueillir une quinzaine
d’entreprises spécialisées dans le domaine.
« La santé
c’est un enjeu de demain », assure le président de Vallée Sud Grand Paris, Jean-Didier
Berger, dans la vidéo de présentation du projet. Ce dernier entend ainsi
impliquer de plus en plus son territoire dans ce domaine, avec le développement
des nouvelles technologies, et invite les entreprises à intégrer un projet
ambitieux de smart territoire.
Bénéficiant
de la proximité avec Paris, Vallée Sud Bio Parc, ce sera donc, à l’été 2021, un
écosystème propice à l’entrepreneuriat, avec des locaux et un accompagnement
sur mesure dans un environnement stimulant. Marie-France Bellin, présidente du
Conseil d’administration de l’IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté
nucléaire) installé à Fontenay-aux-Roses l’assure : « Les
entreprises innovantes qui y seront hébergées pourront bénéficier d’une relation
privilégiée avec l’expert, les chercheurs de l’IRSN, et auront accès à des
connaissances et à des outils propices à leur insertion dans les réseaux
français d’une part, et européens d’autre part, de la santé et de a la
radioprotection ».
Un projet de
3,5 millions d’euros, « financé à 42 % par les Fonds européen
de développement régional, soit 1 434 815 euros »,
assure le site actu.fr, qui devrait accueillir, au total, une centaine
de salariés.
PARIS
Dans le 18e,
une halte de nuit pour les femmes sans abri
Située dans les anciens locaux
(rénovés et aménagés) du tribunal d'instance, une halte de nuit pour femmes a
ouvert ses portes en décembre 2020 à la mairie du 18e arrondissement. Le lieu
est géré par l'association Emmaüs Solidarité et l'association « Agir pour la
Santé des Femmes » (ADSF), dévoile la Ville de Paris.
« Il s'agit de la
première halte de nuit dans le nord de Paris et une réponse à un besoin spécifique
et urgent pour ces femmes », précise-t-elle.
D'une capacité de 17 places,
la halte reçoit des femmes sans abri orientées par les maraudes et le
service intégré de l'accueil et de l'orientation (SIAO) du Samu Social de
Paris. Ouverte 7 jours sur 7, de 20h à 8h, elle permet aux femmes de se
reposer, de se laver, et d'être accompagnées par des travailleurs sociaux.
Ce n’est pas le premier espace
dédié aux femmes, puisque « depuis décembre 2018, l'Hôtel de Ville de
Paris a notamment ouvert dans ses locaux une halte
pour femmes orientées par les services sociaux ou le 115. Une
cinquantaine de femmes peuvent y dormir, et 75 peuvent y être accueillies en
journée. Une autre
halte a été ouverte dans la mairie du 5e arrondissement, ainsi
que la
« Cité des dames », gérée par l'Armée du Salut dans le
13e arrondissement. Un
« espace femmes » géré par l'association Charonne
(10e) accueille par ailleurs, en journée, un public féminin en grande
difficulté », rapporte la Ville de Paris.
Selon le dernier décompte
effectué fin janvier 2020 dans le cadre de la Nuit de
la solidarité, pas moins de 3 600 personnes dorment dans les
rues de la capitale, dont 12% de femmes.