PARIS
Challenge des balades
urbaines
Ce
concours, organisé par l’office du tourisme et des congrès de Paris (OTCP) et
le Welcome City Lab récompense le meilleur parcours de découverte touristique
dans les 12e, 13e, et 14e arrondissements. Le
jury de professionnels a admis 8 candidats pour exposer leurs projets après un
mois de sélections : EnigmaGo, Foxie, Mile, Movie in Paris, Point in the
City, Rewind, Vidi Guides et Vizity. La start-up REWIND, lauréate de cette
année, a été dotée de 5 000 euros, somme destinée à favoriser le développement
de sa solution. REWIND diffuse des podcasts géolocalisés dans Paris. L’histoire
ou l’anecdote est racontée par des acteurs selon la position géographique du
touriste en balade. Le thème de ce challenge touristique urbain répond aux
modes de consommation contemporains et ouvre des portes aux entrepreneurs
talentueux.
En dehors du challenge, l’office du
tourisme et des congrès de Paris et la ville de Paris préparent ensemble des
itinéraires de promenade urbaine en périphérie de la capitale. Le but est
d’aiguiller le tourisme vers des zones peu visitées jusqu’à présent. Sortir la
balade de l’hyper centre pour la porter vers les arrondissements limitrophes
permet de varier les sujets de curiosité : Lieu de vie et d’échange, architecture,
artistes, street art, nature, etc. Concernant les 12e,
13e, et 14e arrondissements, 200 points d’intérêt (POI)
ont été retenus.
Plus d’informations sur les
balades :
12e
arrondissement: https://www.parisinfo.com/decouvrir-paris/balades-a-paris/balades-dans-le-12e-arrondissement-de-paris
13e
arrondissement: https://www.parisinfo.com/decouvrir-paris/balades-a-paris/balades-dans-le-13e-arrondissement-de-paris
14e arrondissement: https://www.parisinfo.com/decouvrir-paris/balades-a-paris/balades-dans-le-14e-arrondissement-de-paris
ESSONNE
Exposition « Anomal » de Quentin Garel
Jusqu’au 29 mars 2020 au
Domaine départemental de Chamarande, le public peut visiter l’exposition
« Anomal » – du grec anômalos, inégal – de l’artiste Quentin Garel,
une exposition hors du commun à découvrir dans les salles du château. En
botanique, anomal qualifie une espèce inclassable, tout comme les créations de
bois, de bronze et de fer de Quentin Garel. Sur le thème du bestiaire, ses
sculptures créent un effet de surprise par les changements d’échelle de
certaines de ses sculptures, entre autres : un crâne de chat pesant
80 kilogrammes, un crâne de flamand rose mesurant plus de 4 mètres ou
encore une vertèbre aux mensurations hors norme qui surgit de terre.
« Ainsi de ses dessins
au fusain et à la craie, directement accrochés sur les murs sans encadrement,
en toute humilité et douceur. Ainsi de ses sculptures en bois qu’il cisèle
minutieusement, ajoute, taille et révèle ainsi des formes animalières,
étrangement reconnaissables tout en ouvrant la part belle au doute sur la
réalité des espèces qu’il donne à contempler » commente sur son site
le Domaine départemental de Chamarande. « Tantôt réaliste, tantôt
fantastique, la tête de l’animal domestique peut aussi devenir emblématique,
comme une parodie du trophée de chasse » indique également le site Essonne.fr.
Après une grande exposition en
2016 au Museum national d’Histoire naturelle et une rétrospective en Normandie
en 2019, l’artiste se concentre sur la présentation d’une quarantaine de
pièces. Celles-ci sont monumentales, majestueuses produites pour la majorité
ces cinq dernières années autour de la figure de l’animal.
YVELINES
Les Essarts-le-Roi et
Montchauvet, nouvelles communes fleuries du département
En France, près d’un tiers des
communes sont rassemblées sous le label « Villes et villages fleuris », une institution qui a
60 ans d’histoire. Cette labellisation permet de promouvoir
l’attractivité et l’accueil des communes qui travaillent en faveur de
l’écologie et de l’environnement. Le département des Yvelines est
labellisé depuis 2013 par le Conseil national des « Villes et
villages fleuris », une labellisation qui a été renouvelée pour
cinq ans en 2018. « Le titre de “Département Fleuri”, unique en
Île-de-France, est la reconnaissance de notre investissement en faveur de
l’écologie urbaine, de la pertinence de nos politiques pour la préservation et
l’aménagement des Espaces Naturels Sensibles, ou bien encore de notre
engagement autour des mobilités douces » a expliqué Marie-Hélène
Aubert, vice-présidente du Conseil départemental des Yvelines, à la rédaction
du magazine en ligne yvelines-infos.fr.
Le 30 janvier dernier, deux
nouvelles communes du 78 ont intégré l’institution. Le jury départemental,
présidé par Marie-Hélène Aubert, vice-présidente du Conseil départemental, a
délivré le label à Les Essarts-le-Roi et Montchauvet, qui ont ainsi rejoint les
63 communes déjà labellisées. À cette occasion, Magny-les-Hameaux,
Meulan-en-Yvelines et Saint-Rémy-lès-Chevreuse ont obtenu une seconde fleur. Le
Vésinet, Versailles et Vélizy-Villacoublay font aussi partie des communes les
plus fleuries de France. Le Département accompagne en outre les communes à
valoriser leurs espaces publics et l’embellissement de leur territoire.
Notamment par des recommandations paysagères, horticoles et arboricoles et des
conseils relatifs aux pratiques durables.
HAUTS-DE-SEINE
Le département au plus près
de l’innovation des entreprises
Le 92 soutient l’attractivité de son territoire, et
accompagne les entreprises sur le chemin de l’innovation. Á ce titre le président des Hauts-de-Seine, Patrick
Devedjian, a récemment officialisé le partenariat du Département avec les deux
plateformes d'incubation de start-ups, Le Swave et le Welcome City Lab, deux
incubateurs franciliens de Paris&Co, en présence de la députée Christine
Hennion, Marie-Célie Guillaume, la directrice générale de Paris La Défense et
quelques uns des chefs d'entreprises incubées.
Dans ce cadre, le Swave, qui accompagne des startups
du secteur de l’innovation financière et de l’assurance depuis 2017, profitera d’un
soutien financier à hauteur de 150 000 euros. Basé à La Défense, ce
dernier est aujourd’hui à sa troisième promotion de start-ups.
« Nous
avons ouvert en 2018 au cœur de la Grande Arche avec des startups qui croyaient en
nous, se souvient Edouard Plus, le directeur. Aujourd’hui, cette
troisième promotion vient profiter de ce qui a été construit mais aussi
participer à notre croissance. »
Créé en 2013, Welcome City Lab, première plateforme
d’incubation dédiée au tourisme, bénéficiera quant à lui d’une aide de 50 000
euros. « À l’heure du Brexit et de
la compétition entre les places boursières européennes, il est essentiel que la
France se soit dotée d’un tel outil, déterminant pour notre capacité collective
à encourager les jeunes talents mais aussi à les retenir », a déclaré
Patrick Devedjian. « Ce partenariat avec le
Département va se lancer dès maintenant, avec une réflexion avec la mission
Vallée Culture pour travailler sur le développement de l’attractivité
touristique des Hauts-de-Seine. » assure le Département.
SEINE-SAINT-DENIS
Un
centre « de stabilisation » à Stains
Un
centre d'hébergement « de stabilisation », destiné à accueillir des familles
actuellement logées dans des bidonvilles de la région, a été inauguré lundi 3
février à Stains, en Seine-Saint-Denis (93). Répondant au nom de « centre
du Mesnil », pour « Mission expérimentale de suivi novateur et d’insertion par
le logement », ce dispositif a été développé en partenariat avec la ville
et la préfecture de région Ile-de-France, face à la multiplication des familles
installées dans des campements de fortune.
L’établissement,
composé de 30 habitations et d’espaces
collectifs communs, est géré par l’association « Les enfants du canal ».
Il ambitionne d’offrir à une trentaine de familles une solution d'hébergement
temporaire, avant l’obtention d’un logement stable.
Ces
familles seront entourées dans leurs démarches administratives et bénéficieront
d’un accompagnement socio-économique, afin de « faciliter leur accès à un
emploi et un logement durable ». Elles se verront en outre proposer
diverses activités en lien avec la vie associative locale, à l’instar de
l'entretien des jardins familiaux bordant le terrain, ou encore en s’engageant
dans les associations de la ville et des environs.
VAL-DE-MARNE
Saint Maur des
Fossés : villes et territoires sans perturbateurs endocriniens
Saint-Maur
des Fossés se veut une ville soucieuse du cadre de vie de ses habitants,
vigilante dans la protection de la Marne et pour la préservation de ses espaces
naturels. Vu l’apparition de craintes pour l'installation d'antennes-relais ou
de compteur Linky, la mairie réagit. Elle a ainsi mis en œuvre le
"zéro-phyto" sur ses emprises, ou encore pris un arrêté
anti-glyphosate.
Les
perturbateurs endocriniens, naturels ou artificiels, extérieurs à l'organisme
peuvent influencer le fonctionnement du système endocrinien et induire des
effets délétères sur l'organisme. La ville a donc choisi d’adhérer à la charte
des « Villes et territoires sans perturbateurs endocriniens ». Il
s’agit d’assurer une sécurité sanitaire aux habitants, notamment les plus
jeunes, grâce à un programme de bonnes pratiques visant à écarter les facteurs
de risques (emballages plastiques, vaisselle...). Le Conseil municipal du 23
janvier a voté pour la signature de cette Charte et s’est engagé aux actions suivantes
en 2020 :
-
la restriction puis, à terme, l'élimination de l'usage de produits
phytosanitaires et biocides qui contiennent des perturbateurs endocriniens
ainsi que des substances classifiées comme cancérigènes, mutagènes et toxiques
pour la reproduction sur son territoire.
-
la réduction de l'exposition aux perturbateurs endocriniens dans l'alimentation
en développant la consommation d'aliments biologiques et l'interdiction à terme
de l'usage de matériel pour cuisinier et chauffer comportant des perturbateurs
endocriniens.
-
la mise en place de critères d'éco conditionnalité éliminant progressivement
les perturbateurs endocriniens dans les contrats et les achats publics.
-
l'information annuelle des habitants sur les engagements pris.
VAL-D’OISE
Roissy - Un temps de
mammouth, Portrait d'un géant disparu
Exposition
originale, jusqu’au 20 septembre 2020, conçue par le Muséum national d’histoire
naturelle et adaptée par ARCHÉA en partenariat avec le Service départemental d’archéologie du Val-d’Oise
et l’Institut
national de recherches archéologiques préventives.
En
2016, des archéologues mettaient au jour des ossements de mammouth à quelques
centaines de mètres des pistes de l’aéroport de Roissy. Cette fouille mène au
songe : quel était son environnement, son mode de vie, son interaction
avec l’Homme ? Pourquoi a-t-il disparu ? 20 000 ans plus tard, venez
découvrir cet animal emblématique au cœur de l’exposition itinérante du Muséum
national d’Histoire naturelle. Réactualisée par le musée ARCHÉA, elle présente
les découvertes archéologiques récentes du Val-d’Oise et de l’Île-de-France et
révèle les dernières avancées des connaissances scientifiques sur cet animal.
Musée ARCHÉA
-
Du mercredi au vendredi de 13h30 à 18h et les samedis, dimanches et jours
fériés de 11h à 18h.
-
Fermé tous les lundis et mardis, ainsi que le 1er mai. Le musée n'est pas
ouvert les jours fériés situés un lundi ou un mardi.
-
Entrée : 3,50 € (3 € pour les résidents des communes de la Communauté
d'Agglomération Roissy Pays de France sur présentation d'un
justificatif).
- Gratuité : enfants et jeunes de moins
de 26 ans, plus de 65 ans, étudiants.
-
Gratuité temporaire le 1er dimanche du mois pour tous et lors des
événements nationaux.