Le 16 mai prochain, à l’Ordre,
sera projeté le documentaire « Marioupol, l’espoir n’est pas
perdu » du cinéaste ukrainien Maksym Lytvynov. L’occasion également de
présenter le nouveau jumelage du barreau avec celui de Kiev.
Après une visite dans la
ville de Kiev, en mars dernier, d’une délégation d’avocats du barreau des
Hauts-de-Seine notamment, ce dernier convie ses consœurs et confrères à une
soirée « placée sous le signe de l’Ukraine », le mardi 16 mai,
à partir de 18h30, en salle Nicole-Fontaine, à l’Ordre des avocats des
Hauts-de-Seine.
A cette occasion, le
barreau reviendra en détail sur la signature de son jumelage avec le barreau de
Kiev et son bâtonnier Petro Boyko, lors de son déplacement dans le pays en
guerre depuis plus d’un an. Un témoignage du soutien et de la
solidarité du barreau francilien, qui s’est mobilisé ces derniers mois pour ses
collègues ukrainiens en équipant le barreau de la région de Kiev en chargeurs
solaires et batteries afin « [de leur] permettre d’exercer malgré les
coupures d’électricité », précise le site Internet de l’Ordre.
Une soirée pour « prolonger
cette visite inoubliable »
À 19h débutera la
projection du film « Marioupol, l’espoir n’est pas perdu », du
documentariste Maksym Lytvynov, relatant des témoignages d’habitants de
Marioupol pendant le premier mois de l’invasion russe en Ukraine, avant un
temps d’échanges et de questions à l’issue du visionnage.
Ensuite, la bâtonnière du
barreau des Hauts-de-Seine Isabelle Clanet Dit Lamanit, l’ancien bâtonnier de
Rouen et membre du Conseil national du barreau (CNB) Arnaud de Saint Remy, la
présidente de la commission Droit des étrangers Claire Boullery, l’avocat au
barreau des Hauts-de-Seine Stéphane Dunikowski et l’avocat au barreau de Paris
Gabriel Sebbah feront un compte rendu de leur déplacement de mars dernier en
Ukraine.
Après la présentation du
jumelage et les débats avec des avocates et des avocats ukrainiens réfugiés en
France, un cocktail ukrainien sera proposé à la profession pour achever cette
soirée en l’honneur de ce pays en guerre.
Allison
Vaslin